MARION ALLET

Marion ALLET

Après plus de 12 ans à mettre en oeuvre et évaluer des projets à impact positif, en particulier en Afrique et Amérique Centrale, Marion Allet a décidé de se lancer dans un projet entrepreneurial plus local, au service de la transition : Ecotopia, le premier parc immersif pour explorer les futurs possibles et donner envie d’agir dès aujourd’hui. En parallèle, elle continue à appuyer les organisations à mission dans l’évaluation et la gestion de leurs impacts. 

Missions dans notre Institut

Croisant ses expériences en évaluation d’impact et son engagement dans la création d’Ecotopia, Marion apporte son regard technique, son expertise de terrain et son expérience d’entrepreneuse au service des organisations engagées dans la transition écologique et solidaire, en particulier sur les enjeux de mesure d’impacts.

Ses Coordonnées

marion@ecotopia.fr

Réseaux sociaux

Expériences professionnelles et citoyennes

Administratrice et accompagnatrice – Institut Transitions
2019 – Aujourd’hui 

Co-fondatrice d’Ecotopia
2019 – aujourd’hui

Responsable Impact et Environnement CERISE 
2021 – aujourd’hui

Responsable Impact PAMIGA 
2017 – 2019

Chargée de programme Microfinance, Energie et Eau PAMIGA 
2013 – 2017

Chargée de projets Microfinance et Environnement Positive Planet 
2009 – 2013

Formations

Doctorat en Economie et Sciences de Gestion – Université Libre de Bruxelles et Paris 1 Panthéon-Sorbonne
2009 – 2013

Master complémentaire en Microfinance – Université Libre de Bruxelles et Wageningen Universiteit
2008 – 2009

Master Affaires Internationales / Développement Durable – Sciences Po Paris
2001 – 2006

Publications

Allet M. (2016) L’accès à l’énergie par la microfinance en Afrique : une approche partenariale, FACTS Report, N°15, FERDI-Veolia Institute

Allet M. (2016) Entrepreneurs Energie : un modèle innovant pour atteindre le dernier kilomètre, FACTS Report, N°15, FERDI-Veolia Institute

Allet, M. (2017), Mitigating environmental risks in microenterprises: a case study from El Salvador. Business & Society, vol.56(1), pp.57-91